Arts plastiques et BIG DATA
Ce travail a été élaboré à partir de deux questions concernant l’identité numérique ou plus exactement les identités numériques. En effet, l’usage quotidien d’internet fait éclore des identités multiples qui laissent des traces, parfois mal maîtrisées.
De façon à amener ses élèves à s’interroger sur ces identités polymorphes et sur les empreintes qu’elles laissent, François Miquet leur a proposé de se filmer dans leur intimité et leur quotidien afin de créer une base de données alimentées par leur gestuelle.
Qu’ils se soient filmés au lever du lit, dans la rue ou dans la classe, les jeunes se sont prêtés au jeu avec enthousiasme.
Si cette expérience a permis à ces collégiens de travailler sur leur image, elle leur a également donné un aperçu de ce qu’étaient les data, mais au lieu de partir de bases préexistantes, ils ont figés sur leur téléphone toute une série de gestes routiniers.
- Plus d’informations sur le projet « 24 heures de ma vie », sur le site Arts plastiques de Créteil.